Le cas de l’Olympique de Marseille, ébranlé par une crise, a trouvé un vif intérêt auprès de la classe politique. Du ministère à l’Assemblée nationale.
L’OM cause nationale ? On pourrait le voir comme cela alors que des réactions politiques se sont fait entendre depuis une semaine. Lundi soir dernier, la désormais fameuse réunion entre la direction de l’OM et des responsables de supporters a déclenché une sérieuse crise à Marseille avec, entre autres, le départ de l’entraîneur Marcelino, probablement effaré par cette situation.
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«Les événements survenus au sein de l’environnement du club de l’Olympique de Marseille interpellent, a réagi Jean Hingray, sénateur des Vosges et membre du groupe Union Centriste, dans un communiqué publié ce week-end.
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» Dans ce contexte, j’appelle à l’ouverture d’une commission d’enquête afin que la lumière soit faite sur cette situation qui impacte non seulement une des places fortes de notre football national mais également le football français dans son ensemble », souhaite l’élu.
Un peu plus tôt dans la semaine, Amélie Oudéa-Castera s’était également émue de ce qui se passe à l’OM. « C’est un moment difficile auquel je suis très attentive », a déclaré la ministre des Sports à La Provence. Je pense que l’amour du football, l’amour de Marseille, l’amour de l’Olympique de Marseille, ça oui, mais la terreur et le chantage non. »
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